vendredi 31 janvier 2014

Hollande/Gayet: Matignon répond à un élu

Matignon répond à la question d'un député UMP sur le coût d'une visite supposée de François Hollande à la famille de Julie Gayet dans le Gers, dans une réponse publiée mardi prochain au Journal officiel et dont l'AFP a pris connaissance aujourd'hui.

Le député UMP Claude de Ganay avait adressé mardi une question écrite au gouvernement sur le coût d'une visite qu'aurait effectuée François Hollande dans le Gers à la famille de l'actrice Julie Gayet, en marge d'un déplacement officiel. "Le président de la République a effectué un déplacement officiel en Dordogne et dans le Gers les 2 et 3 août sur les thèmes du développement rural et de la politique de la ville", rappelle Matignon dans sa réponse.

"Le seul moyen aérien utilisé a été un Falcon-7X pour les trajets Paris-Périgueux et Périgueux-Auch le 2 août, et Auch-Paris au retour le 3", rappelle Matignon. "Aucun autre moyen aérien n'a été mis en oeuvre", assure-t-on de même source. "Il est rappelé que depuis mai 2012, des économies substantielles ont été réalisées sur les déplacements du chef de l'Etat", poursuivent les services du Premier ministre. "Ainsi, le budget déplacements de l'Elysée a baissé en 2013 de 16,7% par rapport à 2011", souligne Matignon.

"Quant aux préconisations de la Cour des comptes relatives aux déplacements privés du président de la République, elles ont toujours été strictement respectées depuis le début du quinquennat", concluent les services de Jean-Marc Ayrault. Le député UMP s'appuyait sur un article du Journal du dimanche du 18 janvier qui affirmait que le chef de l'Etat "aurait fait une halte en hélicoptère dans la jolie résidence secondaire de la famille Gayet, le château de Cadreil" le 3 août 2013, en marge de ce déplacement.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/31/97001-20140131FILWWW00378-hollandegayet-matignon-repond-a-un-elu.php

jeudi 30 janvier 2014

Combien la visite privée de Hollande aux Gayet a-t-elle coûté aux contribuables ?

La visite supposée de François Hollande à la résidence secondaire des parents de Julie Gayet, en marge d'un déplacement présidentiel, est l'objet d'une question d'un député UMP publiée au Journal Officiel. Il s'interroge sur l'éventuel financement de ce déplacement par les fonds publics.
La divulgation, le 16 janvier dans le journal Sud Ouest, d'une visite privée, le 3 août 2013, de François Hollande dans la résidence secondaire des parents de sa maîtresse présumée Julie Gayet, dans le Gers, inquiète l'UMP. Une visite effectuée en marge d'un déplacement présidentiel à Auch.
Deux jours après cette révélation, Le JDD assurait que Hollande s'était rendu "en hélicoptère" au château de Cadreils, situé à Berrac. Un moyen de déplacement dont les locaux doutent, explique Le Figaro (personne n'ayant vu d'hélicoptère), mais rendu plausible par le fait que 90 minutes auraient été nécessaires à François Hollande pour aller puis revenir de Berrac. Or, la visite privée de François Hollande n'a pas duré plus de deux heures.
Une question posée au J.O.
Comme le signalait ce mercredi Sud Ouest, un député UMP du Loiret, Claude de Ganay, souhaite préciser l'éventuel financement par le contribuable de ce déplacement en dehors de l'agenda officiel. De Ganay a pour ce faire posé une question au Ministre de la défense, qui gère la flotte aérienne, publiée mardi 28 janvier au Journal Officiel.
Dans le texte de sa question, De Ganay souhaite que Jean-Yves Le Drian précise la nature des "différents moyens aériens de la flotte présidentielle qui ont été utilisés" ce jour-là par François Hollande, et "le coût" de ce déplacement.
Quelles refacturations au Président ?
Plus délicat pour Hollande, le député s'interroge sur les éventuelles "refacturations au Président de la République" déjà effectuées, rappelant le principe de financement de "'l'intendance privé', recommandé par la Cour des comptes en 2009". En clair : le Président doit rembourser à l'Etat les coûts éventuels de ses déplacements privés supportés par les fonds publics.
Interrogé par Le Figaro, Claude de Ganay explique avoir "une double démarche" : "contrôler ce que fait l'exécutif" et "dénoncer l'hypocrisie ambiante" de la majorité, qui prône selon lui la transparence en entretenant l'opacité. "Que ce soit un hélicoptère ou une voiture, on ne sait pas qui si l'État a financé un déplacement personnel", clôt de Ganay, dans l'attente de la réponse à sa question. 

http://www.midilibre.fr/2014/01/30/combien-la-visite-privee-de-hollande-aux-gayet-a-t-elle-coute-aux-contribuables,815547.php

vendredi 24 janvier 2014

Le voyage de Valérie Trierweiler à Bombay financé par des partenaires privés

La Première dame Valérie Trierweiler s'envole pour l'Inde ce week-end une semaine après sa sortie de l'hôpital. Un voyage prévu de longue date confirmé par l'association Action contre la faim.

Une semaine après sa sortie de l'hôpital et après quelques jours de repos à la Lanterne, Valérie Trierweiler s'apprête à s'envoler pour l'Inde pour un voyage de Première dame qui s'annonce très suivi. Elle est attendue dimanche à Bombay pour une visite au cours de laquelle elle rencontrera l'association Action contre la faim.
Le déplacement, prévu de longue date, a été confirmé ce vendredi par l'entourage de Valérie Trierweiler et par l'association Action contre la faim. ACF a précisé que le financement du voyage était pris en charge par "des partenaires privés, indiens et français, mais essentiellement indiens" de l'ONG. Au cours de cette visite en Inde de deux jours, la journaliste sera accompagnée de la comédienne Charlotte Valandrey, engagée dans la cause du don d'organes et des greffes, elle-même greffée du coeur.
Son avocate "désavouée"
Jeudi soir, la plus grande confusion a entouré la parole de la Première dame. L'avocate de cette dernière, Me Frédérique Giffard a fait savoir que François Hollande et la Première dame réflechissaient ensemble à la clarification de leur situation promise par le président après les révélations sur sa liaison supposée avec l'actrice Julie Gayet. Selon l'avocate citée par le quotidien, le couple progressait pour sortir "par le haut" de la situation. Valérie Trierweiler, qui a quitté il y a une semaine l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière pour la résidence présidentielle de la Lanterne, en lisière du parc du château de Versailles, "souhaite réellement que toute cette affaire puisse se résoudre pour en sortir le plus dignement possible", ajoutait encore l'avocate.
Deux heures après la parution de ces propos, la Première dame a fait savoir qu'elle désavouait son avocate. Seul son directeur de cabinet est autorisé à communiquer en son nom. "Elle parle sans savoir. Et d'ailleurs, elle n'est plus mon conseil."
Valérie Trierweiler n'est pas, pour l'heure, prévue à l'agenda de la visite officielle de François Hollande aux Etats-Unis le 11 février.
 

jeudi 23 janvier 2014

Hollande a tout lieu de craindre la terrible vengeance de Madame

La vie privée de François Hollande est devenue une affaire publique depuis les révélations de sa relation avec Julie Gayet. Sous la plume de la marquise de Sevigné, notre contributeur Hervé Karleskind affirme que le président doit craindre une vengeance de la Première Dame
La rumeur, ma chère et tendre, la rumeur! Elle file et siffle telle la vipère au venin parfumé de la médisance. Mais quelle est-elle cette rumeur infernale? Je vous le donne en cent, je vous le donne en mille: quel sort le roi peut-il réserver à Madame la Première compagne qui, à présent, se morfond dans le pavillon de la Lanterne; s'y repose-t-elle ou s'y trouve-t-elle recluse sur la foi d'une lettre de cachet dictée par l'inflexible volonté d'un roi qui n'a pas même la reconnaissance du ventre. Nul ne le sait, ce qui ne manque aiguiser les crocs de la rumeur si vipérine. 
Sous le manteau, il se mande tant de choses! Que va-t-il faire d'elle, maintenant qu'elle l'encombre, qu'il a tourné la page et qu'il se trouve comme délivré du cilice. Il feint dédaigner la question: son cabinet restreint s'épuise à trouver la solution, mais le Flou, qui craint comme peste les embardées de Madame, rejette, boudeur, toutes les suggestions qui lui sont portées. 
A la cour, on se souvient, car l'on y cultive la mémoire avec un soin vétilleux, que le roi ne s'était guère montré galant avec la duchesse du Poitou, mère de ses quatre enfants. Elle avait dû faire son content d'une petite charge qui n'avait toutefois pas manqué de susciter jaboteries, quolibets et fagots. 
Le roi est à présent prisonnier de son badinage. Il ne peut en effet rien faire qui provoquera derechef les polémiques les plus enflammées. Son irrémissible penchant pour la procrastination se trouve conforté au point qu'il aurait même envisagé de confiner Madame ad aeternam en son cachot doré de la Lanterne. Mais la chose n'est guère envisageable: l'on n'imagine pas un instant Madame enfermée telle une lionne en cage, privée de gazettes, de lettres et de visites, cernée par les séides du comte Valls. 
Elle n'a pourtant commis aucune faute ni péché, excepté celui d'avoir déplu au roi. Lassé sans doute de ses foucades et de son indomptable caractère. Un chroniqueur très au fait de la vie de cour n'écrivait-il pas voici peu que Madame était "méchante, capricieuse, qu'elle avait beaucoup d'humeur et une hauteur dans les nues dont personne n'était exempt, le roi aussi peu que tout autre. Les courtisans, poursuivait-il, évitaient de passer sous ses fenêtres, surtout quand le roi y était avec elle. Ils disaient que c'était passer par les armes, et ce mot passa en proverbe à la cour". 
Ainsi que vous le lisez, ma très chère et tendre, il se trouve peu de gens de compassion pour verser quelques larmes sur les infortunes de Madame. Mais cette sorte de De Profundis n'éclaire en rien sur le sort qui lui sera réservé avant que le roi ne lève la grande ambassade qui doit le conduire le mois prochain au Nouveau monde. Sachez, ma mie, que les chancelleries tremblent et que le protocole peut se trouver à chaque instant tout chamboulé. 
Il semble acquis que Madame ne sera pas du voyage: ce serait par trop bouffon. Le roi partira donc seul; l'on n'imagine pas un instant qu'il convie Madame la Deuxième compagne à le flanquer. Voici qui serait encore plus bouffon. Les gazetiers du Nouveau monde, dont la réputation d'irrévérence n'est plus à faire, ne manqueraient pas comparer le Flou à quelque prince barbaresque mieux nanti en femmes qu'en écus. 
L'affaire est donc pendante, faute d'un édit ou d'un libelle émanant du roi à des fins d'établir le sort de Madame la Première compagne. Le Flou se serait volontiers passé d'un épisode qu'il juge humiliant et très en deçà de sa condition. Il est le roi de France! Ne lui a-t-on pas reproché de l'être si peu, qu'aujourd'hui il se venge. Petitement, je vous l'accorde. Mais le sort d'une courtisane de tout premier rang tombée en disgrâce souffre quelques bassesses. Le roi n'avait de fait guère pris de pincettes pour répudier la duchesse du Poitou. Il est ainsi fait qu'il se prend de prendre, et jeter quand tel est son bon plaisir, se souciant comme de ses premiers langes de faire montre de délicatesse et d'élégance. Ne serait-il pas mufle? Le roi de France, sachez-le ma mie, n'est jamais mufle ni goujat: il est le roi. 
Je vous sens un peu sur votre faim: la question n'est pas pour autant tranchée. A l'entendre, selon un membre de son cabinet restreint, le Flou n'aurait pas été fâché que Madame prît le voile, quêtant paix et asile en une abbaye tenue par un ordre ayant fait voeu de silence et de réclusion. 
Hélas, la chose n'est de nos jours plus possible. Madame est gazetière et escompte conserver son état, soucieuse de gagner quelques deniers à des fins de se préserver de la misère, privée qu'elle se trouvera de toute pension. 
C'est bien cet état qui donne force migraines à notre roi si volage: Madame n'a pas la réputation de tremper sa plume dans l'eau de rose. Lui viendrait-il à l'esprit d'écrire ses mémoires de Première dame que le roi pourrait soudain ployer sous l'opprobre. Toujours prompts à flairer les pas de la biche pourchassée, les éditeurs tels des beagles au nez infaillible, se pressent autour des proches de Madame, faisant miroiter gloire, revanche et... écus à des fins de la faire fléchir. Voici, ma mie, ce qui fait trembler le roi, fait encore tourner son sang et trouble son sommeil. Il se mande encore qu'il aurait sollicité le comte Valls à des fins de savoir s'il ne celait pas un stratagème pour condamner Madame à se tenir coite. 
Un proche du roi aurait suggéré, naïf qu'il est, que l'on confiât à Madame une charge empreinte de charité pour venir au secours des enfants tourmentés et vulnérables. Madame, prudemment approchée pour donner son avis, aurait vivement rejeté cette offre en affirmant qu'elle n'entendait à aucun prix continuer à mener une vie de potiche. Le roi, penaud, se serait donc tenu pour dit qu'il allait au devant de très grandes contrariétés.  
http://www.lexpress.fr/actualite/hollande-a-tout-lieu-de-craindre-la-terrible-vengeance-de-madame_1316497.html

mercredi 22 janvier 2014

Dieudonné entendu par la gendarmerie après la plainte d'un huissier

Après sa compagne, c'est l'humoriste Dieudonné qui aurait été entendu par la gendarmerie mardi soir, après la plainte déposée par un huissier venu lundi au domicile du couple pour déposer une notification et qui aurait été "molesté", selon Europe 1.

Une nouvelle affaire Dieudonné ? L'humoriste a été entendu mardi soir par la gendarmerie à Anet, en Eure-et-Loir, à propos d'un incident survenu lundi soir à son domicile, alors que des huissiers se présentaient pour déposer une notification, selon une information Europe 1. Toujours selon la radio, le comique serait arrivé à la gendarmerie aux alentours de 23h30, dans une berline noire.
Selon des sources proches du dossier, des huissiers se sont présentés lundi soir à Saint-Lubin-de-la-Haye, où le polémiste et sa compagne vivent pour leur "signifier un acte" dont la nature n'a pas été précisée. Un huissier a alors été "molesté", a expliqué une de ces sources. 
Une perquisition menée au domicile
C'est dans le cadre de cet incident que Noémie Montagne, qui gère les affaires de Dieudonné, avait été convoquée mardi chez les gendarmes à Anet, où elle s'est présentée librement pour être entendue en qualité de témoin. Cette audition ne se déroulait pas sous le régime de la garde à vue, ont affirmé plusieurs sources.
L'huissier a porté plainte évoquant un tir, lors de son passage chez le couple, qui pourrait provenir d'un engin lanceur de projectiles en caoutchouc. Une perquisition a donc été menée mardi au domicile de Saint-Lubin, ont précisé deux sources.
La justice a tenté à plusieurs reprises de saisir des biens de l'humoriste, qu'elle soupçonne d'avoir organisé son insolvabilité, pour payer ses amendes pénales. Une enquête préliminaire a également été ouverte par le parquet de Paris sur les appels aux dons lancés Dieudonné pour payer ses amendes pénales
 

mardi 21 janvier 2014

L'Italie révoltée après le meurtre mafieux d'un enfant de 3 ans

Un garçon de trois ans a été tué au côté de son grand-père et de la compagne de celui-ci dans l'incendie de leur voiture en Calabre, dans le sud de l'Italie. Ce décès, qui a ému l'Italie, serait lié à la mafia.

L'Italie était sous le choc ce lundi, après un triple meurtre mafieux dans lequel un garçon de trois ans a perdu la vie. Le grand-père du petit garçon et sa compagne, une jeune Marocaine de 27 ans ont aussi été tués dimanche 19 janvier, dans l'incendie de leur voiture. Ce meurtre s'est produit dans une zone isolée de la Calabre, dans le sud de l'Italie.
Toute la famille du jeune garçon serait impliquée dans des trafics de drogue. Si l'identité du grand-père âgé de 52 ans est confirmée, il s'agirait de Giuseppe Inannicelli, déjà condamné pour trafic de drogue. Comme sa grand-mère et sa mère, actuellement en prison pour le même motif. Le jeune garçon, surnommé "Coco" avait même passé un an derrière les barreaux au côté de sa mère détenue, avant d'être confié à son grand-père. La région de la Calabre est le fief de la Ndrangheta, considérée comme la plus dangereuse et la plus puissante des quatre mafias italiennes. Elle a d'ailleurs un rôle majeur dans l'acheminement de la cocaïne en Europe, la Calabre étant l'un des principaux points d'entrée de cette drogue envoyée depuis l'Amérique latine.
Cette mort a ému l'Italie. Le procureur, Franco Giacomantonio a ainsi déclaré : "Comment pouvez-vous tuer un être humain aussi petit. Cela va au-delà de toute les limites". L'évêque local, Nunzio Galantino, a lui aussi commenté l'affaire en estimant que "c'est un échec pour moi, pour nous tous". Une enquête a été confiée à la direction régionale antimafia.
 

lundi 20 janvier 2014

François Hollande : "Valérie Trierweiler va mieux"

Lors d'une conférence de presse aux Pays-Bas ce lundi, le président a répondu, même si très brièvement, à une question sur la Première dame qui est sortie de l'hôpital ce week-end.

"Valérie Trierweiler va mieux et se repose à la résidence de la Lanterne. Je n'ai pas d'autre commentaire à faire" : ce n'est encore pas cette fois que le président donnera les clarifications promises. Alors que sa compagne officielle est sortie de l'hôpital samedi après-midi, direction la Lanterne, résidence présidentielle située près du Château de Versailles, pour s'y reposer, François Hollande est arrivé lundi aux Pays-Bas pour la première visite d'un président français depuis 14 ans. Mais c'est bien sur le devenir de Valérie Trierweiler que la presse néerlandaise s'interrogeait ce lundi matin : lire notre article.

Depuis que "l'affaire" a éclaté, François Hollande a eu trois occasions de s'exprimer directement, face aux journalistes, sur le sujet. Le 14 janvier, lors de sa conférence de presse. Il a alors promis qu'il clarifierait la situation avant le 11 février, date d'une visite officielle aux Etats-Unis où il est invité avec Valérie Trierweiler. Samedi dernier ensuite, lors d'un déplacement en Corrèze. D'ailleurs même la BBC et le New York Times avaient envoyé des journalistes. Ils auront été déçus, il n'a fait aucun commentaire sur le sujet lors. Cette fois encore, si le chef de l'Etat a rapidement répondu à la première question du journaliste : "Comment va la Première dame ?", il ne l'a pas fait pour la seconde : "la Première dame est-elle toujours Première dame ?", laissant le feuilleton continuer par un "je vous remercie pour votre question".
 

vendredi 17 janvier 2014

François Hollande s'est rendu au chevet de Valérie Trierweiler

Selon les informations de France Inter...
Enfin? Selon les informations concordantes de France Inter, le chef de l’Etat «est allé rendre visite jeudi à sa compagne Valérie Trierweiler, toujours hospitalisée à la Pitié-Salpêtrière. C’est sa première visite depuis son admission vendredi dernier». La radio précise sur son site internet que «Jusqu’à présent le président de la République et sa compagne n’avaient communiqué que par téléphone et textos».
La première dame avait été hospitalisée vendredi dernier après les révélations du magazine Closer sur la liaison entre le chef de l'Etat et l'actrice Julie Gayet. Victime d’un «gros coup de blues, «elle se repose» s’était contenté de répondre mardi le chef de l’Etat lors de sa conférence de presse.
Sa date de sortie de l'hôpital, déjà reportée une première fois n’est toujours pas connue. «Rien n'est fixé, ce sont toujours les médecins qui sont maîtres de la décision», indiquait à l’AFP jeudi un conseiller de l’Elysée, sans autres précisions sur l'état de santé de la Première dame.
Jeudi soir une rumeur sur une visite de Ségolène Royal à la Pitié Salpêtrière avait été rapidement démentie par l’entourage de Valérie Trierweiler.

http://www.20minutes.fr/politique/1275385-20140117-francois-hollande-rendu-visite-a-valerie-trierweiler-a-hopital

jeudi 16 janvier 2014

DSK attaque le roman du Sofitel en diffamation

Dominique Strauss-Kahn n'aime visiblement pas La ballade de Rikers Island, le roman de Régis Jauffret dans lequel il livre sa version de l'affaire du Sofitel. L'ancien directeur général du FMI a décidé d'attaquer en diffamation l'auteur de ce roman paru jeudi, ainsi que les éditions du Seuil, qui le publie, et France Inter, où le romancier a fait la promotion de son ouvrage jeudi matin, a précisé Me Jean Veil, l'avocat de DSK.
Une "pseudo enquête romancée". "Dominique Strauss-Kahn conteste formellement les déclarations diffamatoires de Régis Jauffret contenues dans son dernier livre ainsi que celles tenues ce matin à la radio dans le cadre de sa promotion", a expliqué l'avocat. "Sous prétexte d'une pseudo enquête romancée, l'auteur, qui n'hésite pas à s'appuyer sur des conversations purement et simplement inventées, contredit les conclusions devenues définitives de la procédure judiciaire américaine" qui a abandonné toute poursuite sur les accusations de viol portées par une femme de chambre du Sofitel de New York, Nafissatou Diallo, a-t-il ajouté.
Jauffret ne nomme jamais DSK. Dans son roman, Regis Jauffret, qui a par le passé écrit sur l'affaire Stern (Sévère), revient, sans nommer DSK, sur l'affaire dite du Sofitel. Sur France Inter, il a expliqué sa décision de ne pas avoir nommé l'ancien ministre socialiste, assurant ne pas avoir "pensé du tout aux avocats" pour faire ce choix. "Ca n'est pas venu. J'ai essayé de l'appeler DSK, Dominique, Dominique Strauss Kahn (...) cela ne fonctionnait pas", a-t-il dit.
DSK avait été arrêté le 14 mai 2011 alors qu'il était donné favori à la présidentielle de l'année suivante. Les poursuites pénales avaient été abandonnées le 23 août 2011 en raison de doutes sur la crédibilité de Nafissatou Diallo. La procédure civile aux États-Unis avait pris fin un an et demi plus tard, le 10 décembre 2012, avec la signature d'un accord financier secret.
 

Rumeurs sur sa vie privée : Hollande étudie des "suites judiciaires"

mercredi 15 janvier 2014

Rumeur sur Twitter : Julie Gayet, enceinte de 4 mois ?

Selon un blogueur français, repris par le site Internet RTLInfo.be, Julie Gayet serait enceinte de quatre mois ? Info ou intox ?
Le site RTLinfo.be a repris un tweet d'un blogueur français qui indique que l'actrice Julie Gayet, qui entretient une liaison avec le Président François Hollande, serait enceinte de 4 mois. Le blogueur précise également que son information serait confirmée par un journaliste de M6. Cette annonce a été faite sur Twitter mardi soir et a été retirée par la suite.
Selon cette rumeur, qui n'a pas été confirmée, l'enfant devrait naître au mois de juin.
Mardi, au cours de sa conférence de presse, le Président François Hollande a reconnu qu'il vivait un moment "douloureux" avec sa compagne, Valérie Trierweiller. "Chacun dans sa vie personnelle peut traverser des épreuves, c'est notre cas (...) mais j'ai un principe c'est que les affaires privées se traitent en privé", a notamment déclaré le chef de l'État. Depuis la révélation de l'affaire vendredi, Valérie Trierweiler est hospitalisée pour un "gros coup de blues".  François Hollande a promis une clarification sur la place de la première dame Valérie Trierweiler avant sa visite aux Etats-Unis le 11 février.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/rumeur-sur-twitter-julie-gayet-enceinte-de-4-mois-ia0b0n282897

Gayet-Hollande : à qui appartient l’appartement?

Un voile de mystère plane autour de l’appartement qui abritait la liaison entre François Hollande, dévoilée jeudi par Closer. Mediapart a écrit dimanche que l'appartement, situé dans le 8e arrondissement, tout près de l'Elysée, "est au nom de Michel Ferracci". Selon le site d’Edwy Plenel, il était prêté à Julie Gayet par une autre actrice, l'ex-femme de Michel Ferracci et devenue par la suite compagne de François Masini, réputé proche du milieu corse et assassiné en mai 2013. Michel Ferracci, acteur apparaissant notamment dans la série télévisée Mafiosa, a été condamné en novembre 2013 à 18 mois de prison avec sursis dans l'affaire des détournements du cercle de jeux parisien Wagram au profit de membres du gang corse de la "Brise de mer".
L'hebdomadaire Valeurs actuelles assure quant à lui que l'appartement a appartenu à "un grand patron du CAC 40" et serait aujourd'hui la propriété d'une milliardaire qui le louerait à Michel Ferracci et sa compagne actuelle. Le Point affirme de son côté que l'appartement était prêté depuis six mois par une comédienne qui y vivait jusque-là avec Michel Ferracci.

Le propriétaire de l'appartement "extrêmement choqué" 

"Je n'ai jamais habité cet appartement (...) et je n'en ai bien sûr jamais été propriétaire", a assuré l'intéressé à L'Express.fr. "L'information concernant Michel Ferracci est fausse", a lui déclaré son avocat Maître Haïk. Selon ce dernier, "si son nom est sorti, c'est parce que son ex-femme, dont il est séparé depuis six ans, habite dans cet immeuble avec ses enfants, qui portent son nom", lequel apparaît donc sur une boîte aux lettres de l'immeuble. Et "si mon nom apparaît dans les pages blanches", a précisé Michel Ferracci à L'Express, "cela s'explique aisément : j'avais pris, il y a huit ans, un abonnement pour une Freebox que je n'ai pas résilié et que mes enfants ont fait suivre dans leur nouveau logement." Maître Haïk a par ailleurs souligné que son client n'avait jamais eu affaire à la justice en dehors du dossier du cercle Wagram, dont il était jadis salarié. L'Elysée n'a pas encore réagi à ces informations. 
Le propriétaire de l'appartement, un ancien commerçant de 71 ans, se dit "extrêmement choqué" de la polémique autour de son bien, a-t-il assuré lundi à l'AFP. "Je suis extrêmement choqué de tout ce qu'on peut dire sur moi: que je serais un ancien mafioso, un patron du CAC 40, ou que l'appartement que j'ai habité pendant 40 ans était un bordel", a déclaré Jean-Pierre Discazeaux, qui a vécu dans cet appartement de 1962 à 2003, avant de le mettre en location. Selon lui, cette ex-femme de Michel Ferracci  a loué l'appartement par l'intermédiaire d'un cabinet de gestion immobilière "il y a trois ou quatre ans". "Il n'y a jamais eu aucun problème avec cette charmante dame", dit-il.  
 

mardi 14 janvier 2014

Un fils de Dieudonné interpellé avec un couteau devant le théâtre de la Main d'Or

Interpellé puis laissé libre, il doit être convoqué avec son père ultérieurement...
Un fils de Dieudonné âgé de 15 ans a été interpellé dans la nuit de lundi à ce mardi avec un couteau devant le théâtre de la Main d'Or à Paris, où son père venait de se produire après plusieurs annulations, a-t-on appris de sources proches de l'enquête.
Peu avant 2 heures du matin, des policiers sur place ont remarqué deux jeunes sous le porche du théâtre parisien, après la représentation du polémiste, et ont décidé de les contrôler, selon l'une des sources. «L'un d'eux portait un couteau sur lui. Il s'agit du fils de l'artiste Dieudonné» âgé de 15 ans, a précisé cette source.

Théâtre de la Main d'Or sous surveillance

Il a été interpellé, conduit devant un officier de police judiciaire au commissariat du XIe arrondissement puis laissé libre et convoqué avec son père ultérieurement, a ajouté cette source.
Depuis vendredi soir, après la décision de la préfecture de police de Paris d'interdire le précédent spectacle de Dieudonné pour ses sorties antisémites, la police surveille les abords du théâtre de la Main d'Or «pour éviter les affrontement entre pro et anti-Dieudonné», a expliqué l'une des sources.
Lundi soir, Dieudonné a présenté un spectacle reprenant la trame du précédent mais expurgé de ses saillies antisémites.

http://www.20minutes.fr/societe/1273631-20140114-fils-dieudonne-interpelle-couteau-devant-theatre-main-or

François Hollande : le choc de clarification

Elle était attendue, cette conférence de presse du président de la République. Promise en décembre, puis reportée pour être accolée aux traditionnels vœux à la presse. Avant qu’au dernier moment, un sujet vienne tout bousculer…

Le pudique doit s’expliquer

Car cela ne fait aucun doute : le président Hollande devra cet après-midi clarifier sa situation personnelle. La publication des photos où on le voit entrer dans un immeuble à quelques minutes d’intervalle avec Julie Gayet l’y oblige, comme l’hospitalisation de sa compagne Valérie Trierweiler, prolongée hier soir.
Pour François Hollande, connu pour sa pudeur, c’est sans doute une épreuve. Le fait que sa compagne reste sous surveillance médicale lui permettra sans doute de garder une certaine discrétion et de demander à la presse la même réserve.
Mais il devra au moins dire quel sera le rôle de sa compagne dans les prochaines semaines. Plusieurs voyages officiels importants sont programmés, notamment une visite d’État le 11 février aux États-Unis, à l’invitation du couple Obama.

Son image et celle du pays

Plus largement, le président devra définir ce qui relève du privé dans la vie d’un chef d’État. Est-il possible pour un président d’être un homme « normal » ? En quelques phrases, François Hollande sera tenu d’être clair, s’il veut clore une séquence qui n’est bonne ni pour son image, ni pour celle de la France.
Après seulement, il pourra « tourner la page », comme l’y invitait dimanche Ségolène Royal. Et traiter le sujet qui préoccupe les Français, l’emploi.
L’objectif premier demeure d’« inverser la courbe du chômage ». Le président s’est donné pour cela un nouvel outil, le pacte de responsabilité proposé aux entreprises : « moins de charges sur le travail, moins de contraintes sur leurs activités et, en contrepartie, plus d’embauches et de dialogue social », a-t-il expliqué le 31 décembre à la télévision.

« L’électrochoc » du pacte

Cela soulève bien des questions. « C’est l’électrochoc que j’attendais », s’est réjoui hier le président du Medef Pierre Gattaz. Mais quel sera le niveau de la baisse des charges ? Comment sera-t-elle financée — uniquement par la baisse des dépenses publiques, ou également par la hausse d’autres impôts sur les ménages ?
Le président doit aussi rassurer la gauche de sa majorité, qui s’interroge avec la députée Barbara Romagnan sur la réalité des contreparties. Confirmer ou non qu’il s’agit d’un « tournant » dans le quinquennat.
« Vous me demandez qui je suis… Ça, c’est une question terrible », avait déclaré François Hollande le 16 mai, lors de sa précédente conférence de presse.
La question demeure : qui est-il comme président, et comme homme normal ?
http://www.leprogres.fr/economie/2014/01/13/francois-hollande-le-choc-de-clarification

lundi 13 janvier 2014

François Hollande, Valérie Trierweiler et le protocole - 13/09

Trierweiler hospitalisée pour une durée indéterminée

La compagne de François Hollande, Valérie Trierweiler, a besoin de se reposer davantage savoir lundi son cabinet. La "Première dame" a été hospitalisée vendredi après la publication par le magazine Closer d'un article faisant état d'une liaison entre le président français et la comédienne Julie Gayet. Cette liaison présumée pose la question du statut de la compagne de François Hollande.
"Les médecins considèrent qu'elle a besoin de davantage de repos, elle va donc rester hospitalisée. Les médecins décideront à quel moment elle pourra sortir", dit son entourage à l'Elysée, où le président donnera mardi une conférence de presse. "Elle a besoin de récupérer après le choc qu'elle a subi. Il lui faut de la tranquillité."