vendredi 24 janvier 2014

Le voyage de Valérie Trierweiler à Bombay financé par des partenaires privés

La Première dame Valérie Trierweiler s'envole pour l'Inde ce week-end une semaine après sa sortie de l'hôpital. Un voyage prévu de longue date confirmé par l'association Action contre la faim.

Une semaine après sa sortie de l'hôpital et après quelques jours de repos à la Lanterne, Valérie Trierweiler s'apprête à s'envoler pour l'Inde pour un voyage de Première dame qui s'annonce très suivi. Elle est attendue dimanche à Bombay pour une visite au cours de laquelle elle rencontrera l'association Action contre la faim.
Le déplacement, prévu de longue date, a été confirmé ce vendredi par l'entourage de Valérie Trierweiler et par l'association Action contre la faim. ACF a précisé que le financement du voyage était pris en charge par "des partenaires privés, indiens et français, mais essentiellement indiens" de l'ONG. Au cours de cette visite en Inde de deux jours, la journaliste sera accompagnée de la comédienne Charlotte Valandrey, engagée dans la cause du don d'organes et des greffes, elle-même greffée du coeur.
Son avocate "désavouée"
Jeudi soir, la plus grande confusion a entouré la parole de la Première dame. L'avocate de cette dernière, Me Frédérique Giffard a fait savoir que François Hollande et la Première dame réflechissaient ensemble à la clarification de leur situation promise par le président après les révélations sur sa liaison supposée avec l'actrice Julie Gayet. Selon l'avocate citée par le quotidien, le couple progressait pour sortir "par le haut" de la situation. Valérie Trierweiler, qui a quitté il y a une semaine l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière pour la résidence présidentielle de la Lanterne, en lisière du parc du château de Versailles, "souhaite réellement que toute cette affaire puisse se résoudre pour en sortir le plus dignement possible", ajoutait encore l'avocate.
Deux heures après la parution de ces propos, la Première dame a fait savoir qu'elle désavouait son avocate. Seul son directeur de cabinet est autorisé à communiquer en son nom. "Elle parle sans savoir. Et d'ailleurs, elle n'est plus mon conseil."
Valérie Trierweiler n'est pas, pour l'heure, prévue à l'agenda de la visite officielle de François Hollande aux Etats-Unis le 11 février.
 

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